Au centre commercial[libre]

Dans une des plus grandes ville du monde, New York, diriger par d'immense immeuble et une économie du marcher qui régit le monde. Avec des quartier plus classe que d'autre, une différence social et culturel profonde qui mène a une mixité qui fait la force de cette ville. Une agitation incessante balaye les rue de la ville, entre les enfant qui joue dans leurs quartier et les adultes qui court les rues affin de ne pas rater leurs travaille.

Dans cette impression ante agitation, un jeune homme d'une vingtaine d'année, les cheveux court coiffer en brosse. Se rend dans un centre commercial, celui ci habiller d'une simple veste et pantalon porte une mallette, l'on pourrait pensée qu'il est un homme d'affaire, mais il s'agit d'un étudiant en infographie.
Le jeune homme pénètre dans le centre commercial, un immense batiment qui renferme plein de petit shop tous avec des bannières attrayantes. Marchant dans une large allée au sol daller, avec en son centre une petite forêt, le jeune homme ce rendit droit dans un magasin de jeu.
Bien qu'il soit jeune, cet étudiant ne vas pas dans un stade de jeu vidéo, ici c'est pour les jeux de plateaux.
Boris entra dans le magasin, dans celui ci il regarda les dernières figurines sortit mais celle ci ne l'interesait pas. Lui il venait pour chercher ce qu'il voulait, le tome 1 des règles de donjon & dragon: la création d'un personnage. Un livre de 900 page, impressionnant volume, qui permetra au jeune homme de crée ces propres personnage et non pas prendre ceux fournit dans les boites de jeux basique.

Après avoir acheter ce volume, Boris sortit du magasin, il devait retournée chez lui. Ayant pas mal de temps devant lui, il s'arrêta sur un banc et ouvrit ça mallette. A l'interrieur , divers feuilles ou étaient gribouiller un charabia sur des golem, et un PC portable.
Boris ouvra celui ci et l'alluma, la machine commença a s'activer et Boris commença a pianoté sur son ordinateur a une vitesse impressionnante.
Sur son écran ce dessiner un monstre difforme, surement le golem. Puis après quelque minute, il éteint son ordinateur près a partir.

Paul marchait tranquillement, il n'était pas trop pressait et d'ailleur il ne savait pas quoi faire de sa journée. Mais soudain l'homme se rappella qui devait alors rencontrer de nouvelle recrue. Il s'arrêta au bout milieu du chemin, génant tout les autres passant mais cela était complètement égale à l'homme, si les autres ne sont pas content, ils ont cas faire un détour. Donc Paul était au milieu et réfléchissait si il devait aller les rencontrer au bien si il devait continuer sa marche ne sachant pas elle celle ci l'ammènera. Puis alors qu'il était en train de réfléchir, il sentit qu'on enlaça autour de la taille en bloquant les bras. Paul fronça les sourcils se demanda ce que voulait cette personne et il eut vite fait sa réponse. Il s'agissait de personne du gouvernement. Il pouvait en apercevoir cinq mais il aurait jamais cru qu'ils l'aurait attaqué devant autant de monde. Paul pouvait donc voir que les mesures prise par le gouvernement devait de plus en plus grande.

Donc l'homme était entouré de cinq gardes et se demandait si il devait riposter ou pas. Puis il entendit un d'eux appeler Iron Man au toki et Paul savait que si l'homme en armure arriverait, il ne serait pas seul et cela risquerait d'être compliqué pour le résistant. Paul alors frappa avec ses coudes celui qui le neutralisait. Puis voyant qu'il s'était dégagé, les autres gardes sautèrent sur l'homme. Paul se débatta au maximun et il finit par trouver un instant de répis où il en profita pour s'enfuir en courant. Les gens présant dans la rue le voyèrent courrir et certains tentaient même de le stopper mais Paul les envoyait voler en utilisant l'énergie qu'il avait récupéré.

L'homme courrait toujours et seulement depuis un moment. Puis il regardant derrière lui se demandant si on le suivait mais apparament non. Donc il reposa ses yeux devant lui et c'est alors qu'il pu voir un jeune homme mais Paul arrivait en courant et pouvait pas par conséquant l'éviter. Il le percuta et on pu entendre un bruit d'un appareil tomber au sol, il s'agissait de l'rodi portable de l'homme. Paul se releva donc, nettoyant ses vêtements et regadant celui qu'il a percutait se lever aussi.

Boris se dirigeant vers la sorti fit une halte devant une vitrine, puis son ordinateur dans sa mallette il ne fit pas attention a un homme qui vint le percuter. La vitesse a laquel l'homme arriver sonna le jeune russe, qui lache la mallette. Celle ci tombe au sol pendant que Boris lui tombe a la renverse le cul par terre, il entend le bruit effrayant de son outils de travaille se briser sur le sol. Découcerté par cette actes effroyable de ce black, Boris se leva d'un bond puis ouvre sa mallette regardant avec dépit l'état pitoyable de son portable qui était vraiment irrécupérable. Bien sur il allez essayer de sortir le disque Dure pour récupérez les données mais un ordi coute très chère, et en temps qu'étudiant il ne pouvait pas se permettre de s'offrir le luxe d'un nouveau portable.

Puis laissant son esprit paniquer, comme lorsque avait été frapper par les portoricains. Regardant son agresseur, ne se fiant qu'a son aspect abjecte noirs, qui époussetait la poussière sur des vêtements banals. Le jeune russe le saisit par l'encolure, puis rouspéta:

-Hé! tu te rend compte de ce que tu vient de faire? Tu vent d'ou pour te permettre une tel chose?

Paul s'était revelé et depoussièrait ses vêtements. Mais l'homme devait faire vite car les gardes étaient surement encore à ses trousses. Mais alors qu'il allait reprendre son chemin, le jeune homme qu'il avait percuté le saisit par l'encolure et commença à lui crier dessus. Paul fronça un sourcil se demanda ce qu'il lui arriva au type puis il pu se rendre compte qu'il avait bousillé son ordinateur. Mais bon... Paul avait d'autres chats à fouetter et bien plus important. Paul regarda alors l'homme dans les yeux et dit...

"Ecoutes bonhomme !! J'ai rien contre toi mais si dans les cinq secondes qui suivent tu ne laches pas mon colle je vais devoir t'y forcer."

Paul le regardait mais avec un air de sympathie montrant qu'il ne cherche pas à lui faire du mal mais ci le jeune homme ne le lacher pas, le résistant pourrait devenir moins sympathique et être violent vis à vis de celui qui l'attrape par le colle.

Boris n'en n'avait que pour son PC, son taux d'adrénaline commençait a monté et meme si l'homme en face de lui était plus agée et peu etre plus fort que lui. Une effluve d'antipathie s'empare du jeune russe, dans sa poche des figurine de soldat en métal sont entouré de divers papier. Mais le jeune homme ne met pas la mains dans la poche, maitrisant sa haine face a l'homme qui venait de pulvérisé son portable, ces études, son avenirs.
Boris lacha alors la prise puis laissa tombée ces mains le long de son corps se concentrant. Puis répondant:

-Crétins, je te laisse partir. Mais dans une semaine je veut 900$ pour pouvoir m'acheter un nouveau PC. Et encore je suis gentils.

Puis Boris mit une de ces mains dans sa poche, puis sort un des jouers une figurine d'un combattant. Puis présentant la main a kaiger, lui faisait comme un présent, et il reprit:

-Voila quelque chose qui te fera te souvenir de moi. Si tu le perd, il t'en coutera. Si tu t'enfuit sache que il suffit d'une caméra pour que je te trouve. La ville de NY est la plus sécurisé du monde alors vas y vas te cachée.^^

Le jeune russe avait les qualité nécessaire pour pouvoirs pirates les réseaux de défense de la ville, un simple par feux, rien de plus facil a contourner. Boris ravala ça colère préférant l'utiliser pour traquer PAul au cas ou celui ci essayerait de partir sans laisser de traces.
Puis Boris regarda au loin deux hommes, pointèrent du doigt l'afro américain puis se précipitèrent en traversant les foules. Boris poussa Kaiger pour qu'il s'échappe, si ces hommes étaient du gouvernement Boris devait faire attention a ne pas se faire chopper. Il avait fait de nombreuse fraude plus périlleuse les une que les autres.

L'homme réclama de l'argent à Kaïger, celui ci arqua un sourcil se demandant pour qui il le prenait. Ce n'était pas marqué le secours populaire sur son front. Mais de toute façon, Paul n'avait pas l'intention de lui rembourser. L'afro-américain était arrivé en courant donc le jeune homme aurait pu l'entendre venir de loin. Ce n'était pas sa faute si il était poursuivit par des gens du gouvernement. Puis le voilà qui lui donne une figurine qui était au passage parfaitement sculté dans le métal. Le jeune homme précisa qu'il s'agissait d'une figurine avec une caméra à l'intérieur et par conséquant il poura savoir où il sera à n'importe quel moment. Comme ci Paul allait garder cela sur lui, mais il le prenait pour qui ce type. Le résistant voulut en placer une mais le jeune homme en face de lui se mit à courir poussant Paul. Celui ci le regarda d'un air surprit se disant que de nos jours les gens sont de plus en plus bizarre. Paul alors se tourna et vit les deux types du gouvernement courir vers lui. Paul fit les gros yeux et se mit à courrir également.

L'homme prit ses jambes à son cou même si il sentait qu'il pouvait les vaincre mais la rue était trop peuplé et il s'était déjà fait assez remarqué. Paul ne pensait pas qu'il aurait autant à courir aujourd'hui. Il passe le plus de son temps à courrir qu'à se reposer ou bien défendre sa cause. Mais cela était compréhensible. Captain ayabt disparut, si son second venait à se faire capturé ou bien disparaitre, la résistance en prendrait un sacré coup et donc c'est pour cela que Paul va recruter directement dans la rue. MAis pour l'instant l'homme ne pouvait pas trop recruter, il était surtout en train de courrir le plus vite possible.

Il avait finalement réussit à semer ses poursuivant dans une ruelle bien sombre ou il n'y avait personne mais cette ruelle était un cul de sac et donc si quelqu'un la vu entrer il n'aura pas d'issue pour s'enfuir. Mais Paul entendu des bruits de pas arriver et se dit que quelqu'un à dut le voir. Alors il se cacha derrière un bène à ordure et entendit le pas ralentir de plus en plus. Paul regarda discrètement de qui il s'agissait et il réussit à remarquer le jeune homme avec le PC portable. Mais il nétait pas seul, des gens du gouvernements étaient avec lui car il avait également fuit lui aussi et dont ils en ont déduit qu'il était un mutant aussi. Paul ne savait pas quoi faire, aider le jeune homme ou restait dans l'ombre pour éviter de se faire voir. Il se mit donc à réfléchir à ce qui devait faire...

Boris courra dans la même direction que l'homme qui venait de lui brisée son portable, mais sans vraiment la conviction de la rattraper ni même le suivre.
Rien que le fait de courir après Kaiger, les hommes en noirs qui étaient suffisament proche du jeune homme le prirent en chasse comme si Boris était un ami de Paul. Les hommes du gouvernement ne firent pas de sermon et commencèrent a essayer d'attraper Boris et le saisir pour l'emmener.
Boris alors qu'un des hommes l'avait plaquer au mur, mit sa mains dans sa poche puis saisit une figurine toute de métal. Puis sortant sa main de sa poche se concentra, la douleur des coups donnée pour mettre hors d'état de nuire le pseudo mutant, fit monté une rancœur envers ces gardes puis serrant de plus en plus fort la figurine le poing a Boris se ferma comme ci il avait pulvérisé la figurine. Mais un baton qui prit appuie sur le mur et contre l'homme repoussa celui ci suffisament loin pour permettre a Boris de se mettre en garde.

Restant adosser au mur le jeune russe prit en main son baton près a frapper le premier qui passerait a porté.

Le jeune homme avait réussit à se débarrasser d'un de ses agresseurs qui l'avait plaqué contre le mur. Il était d'ailleur sur ses gardes, prêt à frapper le premier qui approchera. Paul se demandait si il devait l'aider. Lorsque une dizaine de garde arriva de nouveau. Apparament ils avaient l'intention de choper Boris. Le résistant hésita un moment avant de se montrer et de se positionner à côté du jeune homme. D'ailleurs il lui dit...

"J'espère que tu sais te battre car tout seul je le vaincerai pas."

Aussitôt après avoir dit cela, Paul posa les mains par terre qui provoqua une onde de choc sur le sol qui destabilisa les hommes du gouvernement. Paul ne perdit alors pas de temps pour se jeter sur eux le temps qu'ils soient destabilisé. Il les frappait avec ses poings mais ils commencèrent à reprendre de l'équilibre et il n'arrivera pas à frapper les derniers si Boris ne s'en occupe pas.

» Boit un coup [libre]
» Le dernier banc libre..